samedi 26 janvier 2013

AU DÉPART DE PONT L'ABBÉ D'ARNOULT,VENEZ DÉCOUVRIR LE CLUB DE RANDONNÉE PÉDESTRE - LES MILLE-PATTES DE SAINTONGE



 LES ADHÉRENTS

DE L'ASSOCIATION

"LES MILLE-PATTES DE SAINTONGE"

VOUS INVITENT

 À

VENIR DÉCOUVRIR

LEUR CLUB DE RANDONNÉE PÉDESTRE.

"UN JEUDI MATIN OU UN DIMANCHE MATIN"

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Les jeudis ainsi que les dimanches, départ à 9h00 du marronnier sur la grande place 
de 
Panneau de Pont-l'Abbé-d'Arnoult
(Devant la poste)

Pour info : Les jeudis, randonnée d'environ 2h00/2h30, un peu plus les dimanches. 








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lundi 21 janvier 2013

SAINT-ROMAIN-DE-BENET EN CHARENTE-MARITIME



LE DIMANCHE 3 FÉVRIER 2013

LES MILLE-PATTES ÉTAIENT À RANDONNER

SUR LA COMMUNE 

DE

 Panneau de Saint-Romain-de-Benet

 
Quatorze petits kilomètres...
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Météo très agréable : Pas de vent et surtout un beau soleil nous a accompagné toute la matinée.
(nous tenons à remercier le Saint des randonneurs)



SAINT-ROMAIN-DE-BENET


Localisée dans la frange continentale de la côte de beauté, en marge des grandes champagnes agricoles et viticoles de la Saintonge, Saint-Romain-de-Benet petite cité dynamique appartient au bassin de vie de Saujon et à la sphère d'influence urbaine de Royan.
Ses habitants sont appelés les Saint-Rominois et les Saint-Rominoises.
Autrefois modeste commune rurale, Saint-Romain-de-Benet peut désormais être vue comme une des nombreuses petites « cités-relais » qui jalonnent le département, exerçant une certaine influence sur les environs proches du fait du maintien, voire de la création, de commerces et de services de proximité. La cité conserve un patrimoine parfois méconnu : sa vaste église romane, dont la sihouette caractéristique domine les environs, en est un élément indissociable, de même que la Tour de Pirelonge, ancien fanal gallo-romain. Le hameau du même nom abrite un musée des alambics et des champs de lavande.
Un mince cours d'eau, le Griffarin, traverse une partie du territoire communal d'une superficie de 3278 hectares. Celui-ci a donné son nom à l'un des principaux écarts de la commune (agglomération éloignée).
La commune doit son nom au saint éponyme et à la déformation du mot latin benedictus, signifiant « béni ».



 

Durant la Révolution, la commune fut rebaptisée successivement La Réunion-du-Peuple, Romain-la-Tour, puis Romain-la-Fontaine, cette dernière appellation dérivant du toponyme d'une fontaine-lavoir en contrebas du bourg, nommée Les Fontaines.
La commune semble avoir été habitée depuis la période Néolithique, ce qu'attestent des fouilles effectuées au XIXe siècle, de même que des photos aériennes. La voie Romaine reliant les cités de Mediolanum Santonum (Saintes) et celle de Novioregum (Barzan) passait à proximité de la Pirelonge, et il est permis de penser qu'un village, ou du moins une villa, existait à proximité. Un camp militaire, dit « de César », situé à proximité du village actuel, a laissé quelques vestiges, classés monuments historiques le 12 juillet 1886. De l'époque médiévale subsistent qu’une motte féodale ou motte castrale (ouvrage de défense médiéval ancien, composé d'un rehaussement important de terre rapportée de forme circulaire supportant un donjon), localisé au lieu-dit « Toulon ». Le village semble avoir traversé le temps sans qu'aucun événement majeur ne vienne entraver son développement, si ce n'est l’incendie de son église au Moyen Âge et quelques excès, dus aux guerres et à la Révolution. Le XIXe siècle est une époque de relative prospérité économique : des moulins et trois tanneries sont implantés dans le village, tandis que les infrastructures communales sont développées. Une mairie est édifiée en 1901, le monument aux morts, en 1922. 



Le Général Leclerc passera quelques heures à Saint-Romain-de-Benet, au moment de la libération de Royan, en 1945.







L'ÉGLISE

L’édifice d'aspect assez atypique est issu de plusieurs campagnes de reconstructions, qui s'étalèrent sur près de huit siècles. Si la première pierre du sanctuaire fut posée au XII e siècle, celui-ci sera gravement endommagé suite à un incendie, survenu à la fin du Moyen Âge. Rebâti à l'économie, le monument n'est pas loin de s'effondrer sur les fidèles lorsqu'il est décidé, vers le XVIIe siècle, de le remettre en état. Saccagée durant la Révolution, l'église restera en chantier durant une large partie du XIXe siècle époque à laquelle on remplace les voûtes du chœur, avant de surhausser le clocher Roman en 1830. La façade, imitant le style roman est en fait édifiée en 1883. Celle-ci est percée d'un oculus, surmontant un portail dépourvu d'ornements.
L'élément caractéristique de cette église est sa file de coupoles, édifiées en 1901, et laissées apparentes. Construites en ciment, elles donnent à l'édifice de faux airs orientaux. Le sanctuaire, qui devait être à l'origine en forme de croix latine, n'a conservé de sa structure originelle qu'une nef formée de quatre travées prolongée par un chœur en cul-de-four, lequel est percé de sept baies. Huit demi-colonnes, réparties le long de l’abside, tiennent lieu de contreforts. Le clocher, qui conserve dans sa partie inférieure une série d'arcatures romanes, est percé de trois minces ouvertures dans sa partie supérieure.
L'intérieur conserve un mobilier datant principalement du XIXe siècle. Plusieurs statues en plâtre, de facture assez naïve, sont visibles dans la nef : elles représentent notamment saint Michel et Jeanne d'Arc. L'abside, en cul de four, est ornée de peintures murales représentant un christ en majesté. À l'entrée de la nef, sur le côté gauche, un chapiteau daté du XIIe siècle présente des motifs végétaux.





LA TOUR DE PIRELONGE

Cette tour, dont on ne sait s'il faut y voir un fanal, une borne ou un cénotaphe (monument élevé à la mémoire d'une personne ou d'un groupe de personnes dont la forme rappelle celle d'un tombeau et qui ne contient pas de corps), fut édifiée à l'époque romaine. C'est un des monuments de ce type parmi les mieux conservés du département, qui en compte deux autres : l'un à Ébéon, l'autre à Aumagne. La tour de Pirelonge, parfois orthographiée Pirelongue, est classée monument historique depuis 1840.






MONUMENT À MADAME MINAL


Cette statue en calcaire de Thézac fut édifiée en 1924, afin de rendre hommage à une importante personnalité communale du début du XXe siècle, Mme Minal, décédée en 1917. Celle-ci fut à l'origine d'actions en faveur des démunis, ainsi que pour l'éducation des enfants, et tout particulièrement des jeunes filles.
Elle créa la fête des rosières, célébration au cours de laquelle deux jeunes filles jugées méritantes sont mises à l'honneur. Cette tradition se perpétue toujours, chaque deuxième dimanche de juin. La statue située sur le parvis de l'église la représente en costume traditionnel, un bouquet de fleurs à la main, un jeune enfant accroché aux plis de sa robe.






LE LOGIS DE LA CHAPELLE
Cette bâtisse, presque entièrement reconstruite au XIXe siècle, tire son nom d'une ancienne commanderie de Templiers, qui fut démolie à la Révolution. Celle-ci comportait un logis, plusieurs dépendances, ainsi qu'une chapelle, dédiée à Saint Blaise. L'actuel bâtiment, qui comprend encore un mur datant du XVe siècle, est une maison bourgeoise comportant trois niveaux. La porte d'entrée est surmontée d'un fronton.


FONTAINE-LAVOIR
Cette fontaine-lavoir fut probablement aménagée au cours du XVIIIe siècle. Elle se compose de deux bassins distincts, entourés de murs de pierre. L'un servait de lavoir, l'autre de bassin pour rouir le chanvre.


 




  Pour obtenir les photos en plein écran, 
vous positionnez la souris sur une photo
 et vous cliquez gauche.









Photos : YB/jfB 

 

 

dimanche 20 janvier 2013

AU COEUR DE LA PRESQU'ÎLE D'ARVERT CHARENTE-MARITIME




LA RANDONNÉE PÉDESTRE MET LE CORPS EN MARCHE... 
                                                                                                                      
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« La marche est le meilleur remède pour l'homme ». 
Cette phrase, supposément prononcée par Hippocrate il y a deux mille ans, s'applique encore plus de nos jours. Elle est surtout vraie pour les sociétés industrialisées. Les nouvelles technologies n'ont pas seulement transformé notre manière de travailler, mais ont encore plus profondément influencé nos habitudes de vie en réduisant l'effort physique nécessaire pour accomplir la plupart des activités quotidiennes.
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AUJOURD'HUI

 DIMANCHE 20 JANVIER 2013

"DANS UNE TRÈS AGRÉABLE AMBIANCE"

SEIZE MILLE-PATTES DE SAINTONGE

SONT ALLÉS MARCHER

À

Panneau d'Arvert


COMMUNE DE CHARENTE-MARITIME

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Une myriade de choses à voir :

L' église du XIIème siècle, Le puits à coupole du XVème siècle, Le temple, Le moulin des justices, La stèle du Général de Gaulle, Les rives de la Seudre, La gastronomie, etc..

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Circuit d'environ 14 km (à 20 mètres d'altitude maximum).
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Météo : Grand soleil
Température : Minimum /Ressentie moins 2° - Maximum 5°/Ressentie 3°
Vent modéré de Nord-Est.



 Arvert en Charente-Maritime, la plus ancienne cité de la rive gauche de la Seudre, est au centre de la presqu'île qui porte son nom.
Longtemps menacé par l'avancée spectaculaire des dunes, Arvert doit son salut aux pins maritimes de la forêt de la Coubre plantés en 1824 afin de fixer le sable.
Aujourd'hui, les marais environnants apportent leur contribution à la production des excellentes huîtres de "claires".



D'une manière générale, la commune a un relief peu accentué, étant formée d'un plateau crétacé légèrement ondulé bordé de marais humides (marais de la Seudre) et partiellement asséchés (Pré des Landes, reliquat de l'ancien golfe d'Arvert, devenu étang de Barbareu au Moyen Âge), drainés par de petits cours d'eau (Le Grand Écours).
 Le point culminant de la commune peine à dépasser les 25 mètres. Le plateau s'élève à 12 mètres au Martichou, 17 mètres au pied de l'église, 20 mètres au Maine-Amouroux, 22 mètres près de l'école.





L'ÉGLISE ROMANE, SAINT-ÉTIENNE

Cet édifice semble avoir des origines très anciennes, peut-être immédiatement postérieures aux grandes invasions normandes, néanmoins, soit par mode, soit par nécessité, il fut reconstruit vers le  XIIe siècle dans le style roman qui fleurissait alors partout dans la région. De cette époque subsiste deux beaux massifs de sept colonnes encadrant les angles de la  façade et faisant office de contreforts. Chaque colonne est surmontée d'un chapiteau à la décoration assez fruste. Une sculpture, située à l'angle sud de la façade, semble représenter un guerrier que certains assimilent à un guerrier Viking, ce qui n'est pas attesté.

 

 
 



L'église eût beaucoup à souffrir des guerres de religion, presque entièrement détruite en 1568, elle n'est relevée qu'en 1683 sous l'impulsion de l'abbé Jean de Lafargue. Reconstruction très sommaire, dès le  XIXe siècle il devient nécessaire de consolider le monument. En 1845, l'église est pourvue d'un élégant clocher carré, surmonté d'une flèche en ardoise, et les murs sont surhaussés. Deux petites chapelles sont adjointes à la nef, donnant à l'église le plan d'une croix latine. Le chœur est restauré en 1890. Il conserve un mobilier datant essentiellement du XVIIIe siècle. La nef, bien proportionnée, conserve quelques graffitis représentant des navires.
Sur le parvis de l'église, on peut admirer un puits dôme datant de 1727, commandé par l'archiprêtre de la paroisse Alexandre de Lafargue. Il se situait autrefois dans le parc du presbytère et ne fut réédifié à son emplacement actuel qu'en 1990.





LE PUITS DÔME

C'est en 1727 que l'archiprêtre Alexandre de Lafargue (frère de celui qui inaugurera la reconstruction de l' église en 1683) fit construire le presbytère actuel, qui fut la maison commune ensuite pendant la Révolution.Le fronton de la porte d'entrée en porte encore l'inscription.
Pour agrémenter le parc, il fit monter en pure style Louis XV cette très belle margelle à dôme sur quatre colonnades surmontée d'un lanterneau supportant une flamme- (certains historiens pensent qu'elle pourrait provenir d'un château des environs). Cette margelle fut donnée par la paroisse à la commune pour agrémenter la place; démontée pierre par pierre par l'entreprise René Dusseau, elle fut remontée à sa place actuelle en 1990.




LE TEMPLE PROTESTANT

Le premier temple construit à Arvert fut édifié à partir de 1568, année de la destruction partielle de l'église catholique. Il fut démoli en 1682 sur ordre du roi Louis XIV.
En 1834 la commune fit l'acquisition d'une vaste propriété, achetée aux héritiers Martin Descombes. Tandis que la commune vendait les jardins aux enchères, le consistoire protestant acheta les matériaux pour édifier le nouveau temple, à partir de l'année 1836.




LE MOULIN DES JUSTICES

Si au début du XIXe siècle la commune comptait encore une vingtaine de moulins à vent, seul quatre ont survécu jusqu'à nos jours (le Moulin de Cabouci, le Moulin des Lauriers, le Moulin du petit pont et le moulin des justices, construit dès le XVIe siècle, est le plus ancien d'entre eux). Ce moulin doit son nom au lieu où l'on exécutait la justice seigneuriale sous l'ancien régime. Ses ailes, aujourd'hui manquantes, étaient équipées du système Berton, qui permettait de régler la voilure, même lorsque le moulin était en action.




LA STÈLE DU GÉNÉRAL DE GAULLE

Cette stèle datant de 1949, commémore la venue du Général de Gaulle à Arvert, le 22 avril 1945, peu après la libération de la presqu'île d'Arvert et de la poche de Royan. Il avait fallu trois jours de combats acharnés pour arriver enfin à la capitulation des dernières troupes allemandes, retranchées dans leurs Blockhaus de la forêt de la Coubre.


HISTOIRE

En  1534, Calvin tient des discours à Angoulême et Poitiers que de jeunes moines saintongeais entendent. La Réforme sera bientôt prêchée dans toute la presqu'île d'Arvert et vers 1550, la majorité de la population est protestante. 
En 1546 puis en  1553, ce sont en tout trois moines qui sont condamnés au bûcher pour avoir prêché la réforme à Arvert.

En  1568, l'église est incendiée et presque entièrement détruite. Cette même année, un premier temple est édifié dans le village.
En  1598, l'Édit de Nantes est promulgué. On cherche cependant par tous les moyens à convertir les Protestants. 
En  1644,les cultes protestants sont interdits à Arvert.
En  1682, le roi Louis XIV ordonne la destruction du temple. La révocation de l'Édit de Nantes, en 1685 va accélérer l'exode des protestants de la presqu'île, malgré l'interdiction qui leur est faite de quitter la France. Des passeurs sont arrêtés et les fugitifs envoyés aux galères. 
Le 21 février 1687, trois barques surchargés de fugitifs partant de Mornac, Chaillevette et La Tremblade sont immobilisées par des soldats sur la Seudre.
Malgré ces arrestations, la presqu'île se vide de sa population. Ceux qui restent vont créer une église clandestine qu'ils appelleront Église du désert. Des assemblées clandestines sont organisées dans les dunes, les bois ou dans des granges. Jean-Louis Gibert, pasteur du Désert, aménage ainsi des granges en "Maisons d’oraison" à partir de1751. On en trouve deux à proximité d'Arvert : à Avallon et à  Chaillevette. 
En  1754, le pasteur, condamné à mort, s'exilera en Amérique.
Baronnie sous l'ancien régime, Arvert appartiendra au cardinal de Richeulieu, avant de passer à la famille des Senectère. 
En  1790, Arvert est érigé en commune. Une querelle intervient peu après entre les représentants des communes de La Tremblade et d'Arvert, chacune voulant devenir le chef-lieu du canton. Pour des raisons économiques, c'est  La Tremblade qui obtient finalement ce privilège.
Occupé par les troupes allemandes pendant la seconde guerre mondiale, le village sera le théâtre de durs combats au moment de la libération de la poche de Royan, en avril 1945.

LA GASTRONOMIE

La gastronomie saintongeaise est principalement axée sur trois types de produits : les produits de la terre, les produits de la mer et les produits de la vigne.
Les préparations à base de viande de porc occupent une place prépondérante dans la cuisine régionale : ainsi des gratons ou des grillons, sortes de rillettes à base de viandes rissolées et confites dans leur graisse, du gigorit (ou gigourit), un civet mêlant sang, gorge, foie et oignons, ou de la sauce de pire, à base de fressure, d'oignons et de vin blanc de pays.
La cuisine saintongeaise intègre tout naturellement de nombreuses recettes à base de « cagouilles », le nom local de l'escargot petit-gris. Animal tutélaire de la Saintonge, il est notamment cuisiné « à la charentaise », c'est-à-dire cuit dans un court-bouillon agrémenté de vin blanc, d'ail et de mie de pain.
Parmi les autres spécialités locales, il convient de noter également les pibales (alevins d'anguille pêchés dans la Gironde, spécialité des villes de Mortagne et de Blaye), les huîtres de Marennes-Oléron, les sardines de Royan, les « thyeusses de gueurnouilles »  (cuisses de grenouilles) ou encore la « sanglette », une galette préparée à base de sang de poulet et d'oignons cuits.
Les desserts traditionnels sont issus de la cuisine paysanne : Le millas (gâteau à la farine de maïs, qu'on retrouve dans une grande partie du Sud-Ouest de la France), galette charentaise, au beurre des Charentes ou encore « les merveilles » (beignets).
Les vignes de la région servent à la confection de spiritueux réputés, telles que le Pineau des Charentes et plus encore, le Cognac. La commune d'Arvert est ainsi intégralement située dans la zone de production des « bois ordinaires ».






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Deux cartes postales d'Arvert autrefois... 
 







Photos : YB/jfB



mardi 8 janvier 2013

MUSÉE DE L'AÉRONAUTIQUE NAVALE DE ROCHEFORT-SUR-MER (CHARENTE-MARITIME)


LE MARDI APRÈS-MIDI  

- 15 JANVIER 2013 -

Les Mille-Pattes de Saintonge 

sont allés visiter 

le Musée de l'Aéronautique Naval

de 

Rochefort-sur-Mer.
 

 

 


Quel est son but ?

Constituer un Musée sur le site historique de la Marine Nationale à Rochefort-sur-Mer, (dans le hall DODIN de 3500 m²) pour sauvegarder, restaurer, entretenir et faire connaître le patrimoine de l'Aéronautique Navale.




Quel est actuellement ce patrimoine ?

Il se compose d'une collection de 23 aéronefs, 1200 maquettes, 200 pièces muséographiques, une bibliothèque d'un millier de volumes, une importante photothèque, des équipements de survie, etc...




Historique succinct ? 

L'Association Nationale des Amis du Musée de l'Aéronautique Navale (A.N.A.M.A.N.) a contribué, en coopération avec la Marine Nationale à la création en 1988 d'un musée de tradition, partiellement ouvert au public, qui regroupait des aéronefs et une importante collection de maquettes rappelant l'histoire de l'Aéronautique Navale.


Cette Association Nationale assure maintenant avec ses partenaires, la promotion, la conservation et la mise en valeur de ce patrimoine.
Elle regroupe 200 adhérents actifs et une dizaine d'Associations comptant plusieurs milliers de passionnés d'aéronautique.

 

Que pouvons-nous faire ?

Tout d'abord faire connaître autour de nous ce musée. Ensuite que l'on soit pilote, mécanicien, civil ou militaire, actif ou retraité, jeune, ancien, mécène, industriel, ou décideur, mais dans tous les cas passionné d'aéronautique, il faut rejoindre les membres de l'association A.N.A.M.A.N. : Rond-point Albert Bignon - B.P. 90179 - 17308 ROCHEFORT Cedex.
On peut également contacter un des membres du Bureau de l'Association :
Président : CF Jacques CAMESCASSE 05 46 74 04 23
Vice-Président : CV Jean KERMONNACH 05 46 07 46 34

  

"Rochefort-sur-Mer dans le temps"

 

   

Un grand merci à Pierre B pour cette bienveillante proposition

Photos : JPB/JFB