lundi 4 août 2014

GRANDE JOURNÉE PONTILABIENNE SUR L'HIPPODROME (ROYAN - ATLANTIQUE)...



PONT L'ABBÉ D'ARNOULT 
(Ch-M)
SES ASSOCIATIONS
ET 
SES 
SUCCULENTES MOJHETTES
À 
L'HONNEUR
AUJOURD'HUI

DIMANCHE 17 AOÛT 2014

À
L'HIPPODROME 

(ROYAN - ATLANTIQUE)



- Prix des Mille-Pattes de Saintonge -
(dans la deuxième-Attelé-2475 mètres)
Société des Courses Royan Atlantique (SCRA)
  

 
Les Mille-Pattes ont passé le dimanche 
sur l'hippodrome...
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Le matin une petite randonnée  de décrassage
(d'environ 1h30) 
a été organisée le long de la Baie de Bonne-Anse en passant par le golf du club Med et par le port de plaisance... 
Visite des installations de l'hippodrome.
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Pour cette réunion hippique, de nombreuses associations Pontilabiennes étaient présentes...



La première : Prix du club de Gym Forme Fitness





La deuxième : Prix des Mille-Pattes de Saintonge
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La troisième : Prix des Cyclos du Val d'Arnoult
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La quatrième : Prix du Badminton Club
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La cinquième : Prix de la Galette Charentaise Falconelle
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La sixième : Prix de la ville de Pont l'Abbé d'Arnoult
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La septième : Prix du Judo Club de Pont l'Abbé d'Arnoult
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La huitième : Prix du Café de la Paix (Bar PMU)

 

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Photos : CP/CJ/JFB


dimanche 3 août 2014

SOULIGNONNES (Ch-M) - (De l'église Sainte-Geneviève au Trou de Pampin en passant par la stèle en hommage au Capitaine Cole)...


 DIMANCHE 3 AOÛT 2014

Les Mille-Pattes de Saintonge
sont  allés randonner
à

Panneau de Soulignonne
  
Charmant et sympathique circuit de seulement treize kilomètres...


 

POUR INFORMATIONS :

750 Soulignonnaises et Soulignonnais constituent cette sympathique commune  à 28 mètres d'altitude.
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L'Arnoult et la Charrière sont les principaux cours d'eau 
qui traversent Soulignonnes.
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Le sol de Soulignonnes est composé pour une grande partie, 
d'alluvions qui forment une couche si épaisse qu'il faut,
 à certains endroits, 
creuser à plus de 30 mètres pour trouver le fond rocheux.
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Lors du creusement du canal qui passe au pied du Château de Ransanne, construit au XVe siècle, la quille d'un bateau d'époque mérovingienne aurait été découverte. 


 





ÉGLISE SAINTE-GENEVIÈVE-DE-SOULIGNONNES (Ch-M)

(XIe, fut modifiée au XVe et fin du XIXe siècle)

À la nef (qui comprend trois travées inégales) et l’abside romanes fut accolée une chapelle gothique flamboyante. Son clocher, reconstruit au XVIe siècle, ressemble beaucoup à un donjon. Son portail, détérioré à la Révolution, fut également restauré à la fin du XIX siècle. 



L’ancienne tour de guet du XVe siècle, a été transformée en bibliothèque municipale à la fin du XX, ne conservant que l'aspect extérieur.

Pour histoire : L'Abbé Richard, curé de la paroisse en 1696, veut faire fondre une nouvelle cloche. C'est alors que Madeleine de Sollières, châtelaine de Soulignonnes, est sollicitée pour le parrinage et le financement, mais, contre toute attente, refuse. Le Seigneur de Nieul et la dame de Ransanne sont alors choisis et la cloche est fondue personnalisée à leurs deux noms chez le fondeur de Corme-Royal. 
Madeleine de Sollières accepte finalement d'être marraine, mais à la condition que seuls son nom et celui de l'évêque de Saintes, Guillaume de la Brunetière, figurent sur la cloche. Cette dernière doit être refondue, mais la châtelaine ne paie jamais le fondeur et le jour de la bénédiction, le curé de Plassay et l'évêque de Saintes se dérangent pour rien. Le curé paie finalement la cloche, sur laquelle seul figure le nom de l'évêque.
Elle est installée sans bénédiction...

 

 
 

Le Trou de Pampin :
  Vraisemblablement "aménagée" à la faveur d'une période d'exploitation de la pierre calcaire.
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En mémoire au jeune Pampin qui tua le féroce seigneur de Leuzois,
lors de fêtes agrestes, des combats de catch furent organisés sur cette lande (Peut-être toujours ?).
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Le point bas de la première salle correspond au niveau de la nappe phréatique, en équilibre avec l'Arnoult distante de 200 m.
Une fontaine souterraine puisée et préservée depuis la nuit des temps...
 

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Le four banal : Proche de l'ancienne tour de guet, 
a été entièrement restauré.
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Le Moulin Bureau : L'ancien moulin à blé érigé entre 1850 et 1875 fonctionnait grâce à une roue hydraulique et une chute d'eau d'environ 1,40 mètre. L’eau de l’Arnoult était déviée pour l'alimenter. En 1935 Anatole Bureau installe une turbine Teisset, Rose et Brault (Paris), complétée par un moteur diesel de 32 chevaux en été. Électrifié en 1940, cinq ans plus tard, l'entreprise prend le nom de Société Bureau frères. 
Sa capacité de mouture est d'environ 100 quintaux par jour (dix tonnes).
Son exploitation cessa en 1976.



Plusieurs moulins à vent, en ruine ou restaurés, existent sur le territoire de
 la commune de Soulignonnes.



Village des Touches

 
 


La mission des équipages de l'aviation militaire américaine, 
(l'US Air Forcede) est de détruire l'armée allemande et les points stratégiques utiles à cette armée.
Ainsi, le 5 janvier 1944, décollant de Snetterton Hearth 

(dans le Suffolk à l'est de l'Angleterre) une escadrille de vingt bombardiers, B 17, avec une escorte de chasseurs, vient bombarder une raffinerie de pétrole située à Bordeaux.
La mission est réussie, mais quatre des bombardiers ne reviendront pas à leur base, car ils seront abattus.

Ce mercredi 5 janvier 1944, dans le ciel de Saintonge, vers les 11 h 00 du matin, l'un des bombardiers, surnommé " Little Girl II ", est touché par un chasseur allemand, perdant de l'altitude il s'écrase à " Rochevent " 

sur la commune de Nieul lés Saintes.
L'un des deux chasseurs allemands qui le harcelaient s'écrase sur la commune de Corme Royal, entraînant le pilote de la Luftwaffe 

dans la mort.

Si l'équipage a eu le temps de sauter en parachute, le pilote du bombardier américain, voulant certainement rester aux commandes de son appareil jusqu'à la dernière minute, est tué dans la chute de son appareil, l'avion se pulvérisant sur le sol rocheux de " Rochevent ". Ainsi, à quelques dizaines de mètres cette stèle, le Capitaine Charles Donald COLE, âgé de 23 ans, venait de donner sa vie pour la France et la liberté.

Parmi les neuf aviateurs rescapés, se retrouvant sur cette terre de Saintonge, quelques-uns sont blessés, certains pourront regagner l'Angleterre par des filières d'évasion et les autres sont faits prisonniers.
Les aviateurs américains tombés en parachute sur les terres des
Corme Royal et de Nieul lés Saintes, trouvent une grande solidarité et assistance auprès de la population locale.
Malheureusement un ouvrier agricole, pour avoir aidé un aviateur américain, est arrêté par les Allemands et meurt en déportation, en avril 1944, dans un camp " Struthof " de l'Allemagne nazie. 

Ce français s'appelle Adrien BESSON.
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Le Strutof : Est le seul camp de concentration sur le territoire Français. Officiellement ouvert le 21 avril 1941, dirigé d'octobre 1942 jusqu'en mai 1944 par le sinistre Joseph Kramer, le Struthof est avec Mauthausen, l'un des camps les plus meurtriers du système concentrationnaire nazi, avec un taux de mortalité de plus de 40 %...
Ce camp est aussi connu pour ses « expériences » pseudo-scientifiques.
À cet effet, avait été aménagée une salle de dissection.

Le professeur  Eugen Haagen, a pratiqué au Struthof des injections de lèpre, peste et autres maladies sur des détenus de manière à observer les effets de ces contaminations, ainsi que des expériences de toxicité du gaz  phosgène par un virologiste.  

 




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Photo : jfB